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Tueurs en série - Jack l'éventreur 9

Dans son livre Jack l'Eventreur démasqué, Sophie Herfort, une professeur de français et de langue étrangère de l'Alliance française, entend démontrer que toutes les hypothèses précédentes sont erronées. Elle avance que le coupable serait Melville Macnaghten, en s'appuyant sur ses mémoires, ses dires ainsi que les lettres attribuées au meurtrier de Whitechapel. Selon Sophie Herfort ce policier fut humilié par le patron de Scotland Yard et aurait prévu de se venger. Après le renvoi du préfet Warren, il obtient un poste à Scotland Yard. Certaines lettres évoqueraient le désir chez Jack l'éventreur d'intégrer la police après avoir subi une terrible éviction. Elle affirme également que Sir Melville Macnaghten fréquentait les prostituées et manifestait un sentiment de haine à leur égard. Dans ses mémoires, il avoue prendre plaisir à leur faire peur. L'homme avait une grande expérience de chasseur. Lors de sa jeunesse en Inde, il traquait de gros prédateurs (fauves, alligators) en particulier le chacal qu'il surnommait « jack » (diminutif de « jackal » en anglais). Cet homme vantera plus tard l'abondance de ses trophées. Elle suppose que ses compétences en tannage lui auraient permis de pratiquer le dépeçage chirurgical des victimes.
James Maybrick
Un journal intime découvert près d'un siècle plus tard en 1991 a désigné comme suspect potentiel James Maybrick, un négociant en coton anglais décédé en 1889, qui habitait Liverpool mais venait régulièrement pour ses affaires à Londres et résidait à Whitechapel. Des expertises ont tenté de prouver l'authenticité du document, qui reste douteuse pour la plupart des scientifiques qui s'acccordent à dire que le journal est un canular fabriqué a posteriori. Les partisans de cette thèse s'appuient également sur une montre ayant appartenu à Maybrick, retrouvée peu de temps après l'apparition du journal, qui fournirait une preuve supplémentaire que Jack était Maybrick. Il y était gravé: « James Maybrick, I am Jack », et les initiales supposées de toutes les victimes. Les deux premières lettres de son prénom suivi des deux dernières lettres de son nom forment également le mot Jack.
En 1995 Michael Barret qui était l'origine de la découverte du journal devait confesser avoir fabriqué ce journal de toutes pièces avant de se rétracter ce qui rajoute encore à la confusion concernant cette affaire.
Walter Sickert
Patricia Cornwell dans son livre Jack l'éventreur : affaire classée - Portrait d'un tueur défend la théorie (basée sur d'anciens échantillons d'ADN) selon laquelle le peintre Walter Sickert serait l'auteur des cinq meurtres. Ses œuvres seraient le reflet de ses crimes. L'argument défendu dans le livre repose cependant sur un faisceau de coïncidences n'ayant pas force de preuve.
Retour Jack 8